Notre démarche RSE
Les sept engagements thématiques correspondant aux sept questions centrales de la norme ISO 26 000 ont été adaptés au secteur de la santé à domicile
Engagement n°1 : Mettre en place une gouvernance responsable
« Les valeurs d'une entreprise, indépendamment de son statut, doivent avant toute chose se décliner dans les modalités de sa gouvernance. La juste représentation des parties prenantes dans les instances, l'équilibre dans l'affectation des résultats entre l'entreprise, ses salariés et des actions sont autant de pré-requis essentiels à une démarche RSE. »
Engagement n°2 : Respecter les droits des personnes
« Respecter les droits des personnes signifie respecter le patient dans sa dignité, dans son intimité mais aussi protéger ses données personnelles, le secret professionnel, et respecter sa liberté de choix ; ces principes devant être également appliqués à son entourage. Au sein de la structure, respecter le droit des personnes revient à prévenir toute forme de discrimination et à promouvoir l’égalité des chances. »
Engagement n°3 : Développer des relations et des conditions de travail responsables
« L'équilibre dans le modèle social : là est sans doute un des principaux objectifs de la démarche RSE. Entre l'exploitation aveugle et le dogme social à outrance, il y a un juste milieu permettant de mettre les collaborateurs dans les meilleures conditions de travail, sans pénaliser l'entreprise. La clarté du cadre de référence, l'amélioration des conditions de travail, l'ergonomie, la convivialité, les possibilités de progression professionnelle et l'exemplarité des dirigeants sont autant de sujets permettant d'aboutir à cet équilibre et à la confiance réciproque. »
Engagement n°4 : Préserver l’environnement
« Il ne peut y avoir de responsabilité sociétale sans respect de l’environnement. Chaque geste peut et doit y contribuer. Dans le cadre de la santé à domicile, une attention particulière est portée aux déplacements : choix de véhicules propres, planification des rendez-vous afin d’optimiser les parcours journaliers, … D’autres mesures, du tri sélectif des déchets à la gestion du parc automobile, en passant par les choix des matériaux et des énergies participent à cet engagement. »
Engagement n°5 : Développer l’éthique dans les relations d’affaires
« Les bonnes relations avec les fournisseurs et l’ensemble des prestataires de service participent à la pérennité de l’organisation tout en renforçant l’esprit général de responsabilité sociétale de son environnement économique et social. Garantir la transparence, respecter les engagements, les délais de paiements, mais également rester vigilant sur le comportement éthique des fournisseurs sont autant d’enjeux de la démarche. »
Engagement n°6 : Respecter les intérêts des usagers et des bénéficiaires
« La qualité des soins à domicile nécessite un réel savoir-faire mais aussi la prise en compte d’une dimension psycho-affective entre le patient et le soignant afin d’instaurer la confiance. La qualité des produits, la bonne utilisation des équipements techniques sont incontournables dans un contexte de santé. De nombreux soins à domicile nécessitent un équipement spécifique. Le patient doit pouvoir bénéficier d’un matériel amenant le meilleur confort possible (ergonomie, silence, encombrement), il doit l’accepter, se l’approprier, l’intégrer dans son environnement. »
Engagement n°7 : Viser le développement local et l’intérêt général
« L'utilisation des ressources, si elle doit légitimement concerner les investisseurs et les salariés, ne peut se limiter à cela. Des actions d'intérêt général, comme le financement d'activités de recherche clinique, l'accompagnement de jeunes entreprises régionales innovantes, le soutien d'associations locales, sont autant d'initiatives à déployer. »
La gestion des déchets et la protection de la planète n’est pas réservée aux grandes industries et aux déchets toxiques ou dangereux…
Toute entreprise, quelles que soient sa taille et la nature de ses déchets, est responsable de leur traitement, c’est pour cela que l’arard renforce son implication dans le tri des déchets.
Protection de l’environnement
En triant ses déchets, l'arard devient le premier maillon de la chaîne du recyclage et contribue activement au développement durable : le processus de recyclage utilise des matières premières issues de déchets et permet ainsi d'éviter toutes les phases d'extraction et de transformation de la matière première naturelle qui sont polluantes et coûteuses en énergie.
Préservation des ressources et réalisation d’économie
Le recyclage évite que certaines ressources de la planète transformées en produits ne deviennent en fin de vie des déchets qu'il faut éliminer. Une boucle vertueuse est ainsi créée par l'utilisation de matières premières issues de déchets à la place de ressources naturelles.
Le tri et le recyclage diminuent le volume de déchets produits et restants. De plus les personnes impliquées changent leurs habitudes, elles consomment moins de matières premières et donc produisent moins de déchets : proposer des pièces détachées plutôt qu’un masque complet, limiter les impressions et favoriser le travail sur écran...
Soutenir l'économie locale
Le recyclage favorise l’économie locale et contribue par conséquent à la création d’emplois. Le papier à l’arard est récolté et traité par l’entreprise Elise Méditerranée basée à Marseille qui œuvre à la réinsertion professionnelle de personnes en difficulté. Le reste de nos déchets est traité sur Aubagne.
C’est pour toutes ces raisons que l’arard a mis en place un tri optimisé des déchets et fait appel au sens éco-citoyen de l’ensemble de ses collaborateurs.
Pour conclure : « Les musées préservent notre passé ; le recyclage préserve notre avenir ».